La plus longue saison de Formule 1, mais avec seulement trois jours d’essais derrière elle, est sur le point de commencer. Et déjà, cela pourrait être une anomalie pour tout événement sportif. Un véritable non-sens technique et sportif, dont on ne peut que prendre acte.
Pratiquement vingt-quatre heures de tests pour préparer une saison composée de 23 grands prix, auxquels il faut ajouter 6 courses de sprint.
Comme d’habitude, l’interprétation des résultats de ces trois jours n’est pas du tout facile, surtout assis devant la télé tant il nous manque d’informations. A commencer par la charge en carburant.
Red Bull Racing toujours devant
Il est certain que nous avons devant nous une Red Bull qui a repris là où elle s’était arrêtée en 2022. En avance sur tout le monde dans toutes les conditions. Même Sergio Perez, avec les C5 (que Pirelli n’a pas apporté pour le week-end de course) a battu la pole position de la saison dernière. La voiture conçue à Milton Keynes reste la référence et fait déjà peur. Sa marge sur la distance d’un grand prix pourrait à nouveau osciller entre 20 et 25 secondes.
Derrière elle, on pourrait trouver la Ferrari, qui a donné des signes positifs sur un tour, un peu moins dans les longs runs d’où émerge l’Aston Martin, qui pourrait être la troisième force du championnat du monde. Du moins dans cette première partie de la saison. Plus en difficulté, Mercedes (on parle déjà d’une version B) et McLaren. Surtout, la MCL60 de Lando Norris et Oscar Piastri n’a été compétitive avec aucun composé, payant des détachements importants.
Un autre fait qui pourrait avoir émergé est un resserrement des autres équipes, mais tout ce qui reste à faire est de suivre cette première étape, qui commencera à 16h00 le dimanche.
Gian Carlo Minardi
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